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Lot. Concours de cavage de truffe le 17 novembre à côté de Cahors

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Les meilleurs chiens truffiers de France se donnent rendez-vous à Cahors dans le Lot ce 17 novembre 2019.

Les meilleurs chiens truffiers de France se donnent rendez-vous à Cahors dans le Lot ce 17 novembre 2019. (©Canine du Lot)

Dimanche 17 novembre 2019 aura lieu le concours annuel de cavage organisé par la Canine du Lot. Ce concours s’effectuera sur le magnifique site du château de Labastide-Marnhac à côté de Cahors dans le Lot.

Des chiens de toutes races viendront s’affronter dès le matin, le début des épreuves est fixé à 9 h. Ce seront 70 chiens venus de toute la France qui, tout au long de la matinée, chercheront à obtenir la meilleure note afin de se qualifier pour participer au prochain championnat de France en février 2020.

Comment ça marche ?

Il faut rappeler que cavage veut dire creuser. Ce concours consiste à rechercher des truffes enterrées. Désormais, le règlement permet d’enterrer un leurre imbibé d’huile spéciale à l’odeur de truffe. Grâce à cette nouvelle méthode, une vingtaine de concours sélectifs de cavage s’étalent de mai à février avec en point d’orgue les finales : Coupe de France et Championnat. Six leurres enterrés la veille sont dispersés dans un carré de 5 m x 5 m et le chien dispose de 8 minutes pour les découvrir. Des pénalités sont appliquées s’il y a un marquage sans truffe ou un re-marquage sur une truffe déjà levée.

Actuellement le meilleur temps mis pour sortir les six truffes est de 38 secondes. Les chiens doivent être très rapides mais les maîtres aussi car lorsque le chien a marqué l’endroit où se trouve la truffe au moyen d’un coup de patte, le maître doit la déterrer et la porter dans le panier de la personne placée en bord de terrain pour réceptionner ce précieux joyau. Il faut évidemment une énorme complicité entre le maître et son chien afin de travailler et se comprendre. Et le chien doit continuellement y trouver du plaisir.

Les juges officiels seront MM. Arrighi et Gomez.

C’est le cumul des 4 meilleurs concours de la saison dans au moins 2 régionales différentes qui permet d’être sélectionné aux championnats de France. Les 25 meilleurs chiens L.O.F. (inscrits au livre des origines françaises) et huit chiens non LOF iront au championnat.

Rens. M. Gomez, président de la canine du Lot, au 05 65 35 12 00.


Gironde. Les viticulteurs locaux à l'honneur pour la Fête des vins à l'ancienne prison de La Réole

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La première édition des Grandes Caves, à l'ancienne prison de La Réole (Gironde), sera l'occasion d'aller à la rencontre des viticulteurs locaux.

La première édition des Grandes Caves, à l’ancienne prison de La Réole (Gironde), sera l’occasion d’aller à la rencontre des viticulteurs locaux. (©Photo d’illustration – Viktor Hanacek – Flickr)

Ce week-end, Les Grandes Caves débarquent à La Réole (Gironde). Le collectif La Nouvelle Centrale organise avec l’association Le Rituel la première édition de la Fête des vins, à l’ancienne prison de la cité médiévale, samedi 16 novembre 2019

Entre dégustation et vente de vins, cet événement sera l’occasion d’aller à la rencontre des viticulteurs locaux, nombreux dans le Sud-Gironde mais aussi en Lot-et-Garonne.

Lire aussi : Gironde. À Gironde-sur-Dropt, les écoliers vont tenter de remporter le pactole au Jeu des 1.000€

15 exposants à l’ancienne prison

Entre les vignerons et vigneronnes et d’autres stands (bière, food, musique, livres…), ce sont 15 exposants qui vont s’installer dans le cadre insolite de l’ancienne prison. Avec la particularité que les viticulteurs travaillent tous en biodynamie.

Le Vignoble Nadia Lusseau, à Duras, le Domaine de Glayroux, à Sigalens et le Château Coulonge, à Mourens, seront de la partie pour cette première qui pourrait en appeler d’autres, qui sait ! 

Les festivités commenceront à 17h pour se terminer à 23h.

 

Publiée par La Nouvelle Centrale sur Jeudi 26 septembre 2019

 

Les Grandes Caves, samedi 16 novembre, de 17h à 23h, à l’ancienne prison.
Entrée : 6€ (accès à toutes les dégustations). 
Pour en savoir plus sur cet événement, cliquez ici.

Campus Actu. Les étudiants l'Orne ont rendez-vous au Talents' Network pour rencontrer les entreprises

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L’IAE Caen (Calvados), école universitaire de management, organise une nouvelle édition du Talents’ Network, sa rencontre annuelle entre entreprises, étudiants et jeunes diplômés à la recherche d’offres d’emploi, de stage et d’alternance.

L’événement se tiendra le 26 novembre 2019 de 13h30 à 17h, dans les locaux de l’IAE Caen.

Il est ouvert, pour la première fois, à tous les étudiants et diplômés de l’Université de Caen Normandie.

Une rencontre networking

Chaque année, l’IAE Caen organise, dans ses locaux, une rencontre networking entre ses étudiants, ses diplômés et des professionnels.

Plus de soixante organisations – entreprises, associations, organisations publiques – participeront au Talents’ Network dont KPMG, Natixis, Agrial, Apec, le Crédit agricole ou encore Carrefour.

600 étudiants et diplômés sont attendus également.

Oumaïma Al Bagdadi, étudiante à l’IAE Caen confie :

Le Talents’ Network permet d’aller au-delà de sa zone de confort et de ses attentes premières. En effet, j’ai participé à l’édition de l’année dernière pour trouver mon stage de Master 1. Je m’y étais préparée en ciblant les entreprises que je souhaitais rencontrer. J’ai finalement eu un très bon feeling avec l’entreprise de logistique CH Robinson France qui n’était pas sur ma liste. Celle-ci m’a recontactée dans la foulée pour me proposer un entretien dans ses locaux. C’est ainsi que j’ai réalisé un stage de six mois en commerce international et transport »

L’étudiante poursuit :

Actuellement en Master 2 Développement International de la PME-PMI, je compte participer au prochain Talents’ Network en vue principalement d’élargir mon réseau professionnel et trouver, si cela n’est pas déjà le cas au moment de cet événement, un nouveau stage. »

Un vivier de contacts

Amélie Dantu, Directrice des Ressources Humaines pour la région Normandie de KPMG, cabinet leader de l’audit et conseil en gestion auprès des entreprises ajoute :

Nous participons chaque année au Talents’ Network car l’IAE Caen, par la qualité de ses formations et les profils de ses étudiants, est l’un de nos principaux viviers de candidatures. Nous profitons de cet évènement pour aller à la rencontre des étudiants et jeunes diplômés, leur présenter notre entreprise et nos métiers mais également préparer nos prochains recrutements. »

Pour l’année universitaire 2018-2019, KPMG a recruté 10 alternants et 9 stagiaires étudiants à l’IAE Caen. 10 jeunes diplômés se sont vus proposer un CDI.

Ouverts à tous les étudiants

Patrice Georget, directeur de l’IAE Caen conclut :

Nous sommes heureux et impatients de proposer cette nouvelle édition du Talents’ Network. Cette demi-journée, destinée, pour la première fois, à tous les étudiants et diplômés de l’Université de Caen, est l’occasion de passer de premiers entretiens de recrutement, d’échanger sur son parcours, et de développer son réseau au contact des nombreuses entreprises présentes au sein même de l’école »

Pratique
L’événement « Le Talents’ Network » se tiendra le 26 novembre 2019 de 13h30 à 17h, dans les locaux de l’IAE Caen au 19 rue Claude Bloch et est ouvert à tous les étudiants.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’IAE de Caen.

A propos de IAE Caen
Créée en 1956, l’IAE Caen, école de management de l’Université de Caen, propose aujourd’hui une gamme complète de diplômes du premier au troisième cycle, spécialisés dans des domaines tels que le marketing digital, les ressources humaines, les affaires internationales, le secteur social et sanitaire, la finance ou la logistique. L’IAE Caen, c’est près de 2 000 étudiants et salariés en formation initiale et continue, 70 déclinaisons de diplômes, 100 chercheurs. Les points forts de l’IAE Caen : un corps professoral mixte constitué d’enseignants-chercheurs reconnus et de professionnels de l’entreprise experts. Plus de 450 professionnels interviennent dans le cadre de ses enseignements. Attentif à l’émergence des nouvelles technologies et des pédagogies innovantes, l’IAE Caen n’a de cesse de mettre en œuvre de nouvelles méthodes d’apprentissage : pionnier, il y a vingt ans déjà, dans l’apprentissage en e-learning, il a mis sur pied, dès 2011, la première filière complète, de bac à bac + 5. Aujourd’hui, le e-learning représente un quart des formations proposées par l’école : dix formations sont accessibles en e-learning. École agile dans une Université solide, sur place ou à distance, la mission de l’IAE Caen, plus que jamais, est d’apprendre à apprendre.

Dany, figure des gilets jaunes à Lamballe : « Plusieurs fois je me suis dit : j’arrête tout »

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LAMBALLE. Dany et son chien Jazzy qui a participé au mouvement des gilets jaunes à sa façon en marchant de Lamballe à Rennes. Aujourd’hui, la battante évite la médiatisation et continue le combat dans la discrétion.

LAMBALLE. Dany et son chien Jazzy qui a participé au mouvement des gilets jaunes à sa façon en marchant de Lamballe à Rennes. Aujourd’hui, la battante évite la médiatisation et continue le combat dans la discrétion. (©Le Penthièvre)

Dany, c’est l’incarnation du mouvement des gilets jaunes à Lamballe. Meneuse de groupe, voix de stentor affirmée et détermination sans faille, la quadragénaire a été l’une des initiatrices de la manifestation du 17 novembre 2018.

Bien involontairement, selon elle, cette place de porte-parole, et non de chef, s’est imposée par hasard, « mon caractère a sans doute joué mais ce n’est pas une place facile ! », reconnaît Dany.

Un break salvateur

Un an de bouillonnement plus tard, elle tire, aujourd’hui, les leçons de l’histoire après un break salvateur en septembre. « J’étais épuisée, physiquement et moralement, de tous ces mois d’engagement. C’était devenu un besoin d’être présente, chaque samedi, à une manifestation sinon, je culpabilisais. Inconsciemment, on en prend plein la tronche », lance-t-elle avec la gouaille et la franchise qui la caractérisent.

Après quelques semaines de repos, Dany pense avoir pris le recul nécessaire pour faire le bilan d’une année de bagarre contre un système qu’elle espère toujours pouvoir changer.

« Je ne porte plus de gilet jaune mais je suis devenue une citoyenne en colère. On est plus gouverné par l’argent que par l’humain et tout le monde à droit au respect. On veut pouvoir vivre de notre travail dignement sans compter le moindre sou pour se faire un petit plaisir. On est juste là pour trimer alors que certains s’en mettent plein les poches ? Il reste trop d’injustices, qu’elles soient sociales, financières ou judiciaires d’ailleurs. »

Lire aussi : Jérôme Rodrigues, le Gilet Jaune de Tremblay-en-France offre le café aux Policiers qui le suivent

L’injustice judiciaire, Dany l’analyse au travers des différentes interpellations ou mollestages sans raison qu’elle dit avoir vécus au cours des manifestations, notamment à Paris. « La violence est présente des deux côtés. Je ne la cautionne pas mais elle existe. Et les policiers ne se privent pas non plus. Ce qui est dommage, c’est l’image qu’en ont donnée les médias. On ne voyait que ça, la casse, la violence mais rien sur nos revendications, sur le fond. »
Éveiller les consciences

Si la forme a souvent occulté le discours, Dany reste convaincue que le mouvement va se poursuivre mais sous une autre forme. « Le mouvement n’est pas mort. On se rend compte qu’il n’y a pas que nous à être en colère et on a éveillé les consciences. On va continuer de se battre pour nos quotidiens mais on est plus dans la réflexion que dans l’action désormais. »

Continuer le combat discrètement

Aujourd’hui, la battante se dit lassée du terrain et évite la médiatisation. Mais continue le combat dans la discrétion. « Plusieurs fois, je me suis dit : j’arrête tout. On ne trouvait pas de solution, il y a eu de l’usure, on s’est fait des ennemis… Je me suis vraiment demandé si tout ça valait le coup. »

Lire aussi : Entretien : Jacline Mouraud, une des figures des Gilets jaunes, raconte une année où « tout a changé »

Entre bataille rangée et idées sombres, Dany a fini par se ranger à une ligne médiane qui semble lui convenir pour l’avenir, vers un mouvement plus globalisé, recentré sur l’humain. « Je n’avais plus envie de médiatisation, de stigmatisation. On nous a collé une étiquette qui n’est pas toujours très positive et même si je suis fière d’avoir fait tout ça, je n’ai plus forcément envie de le montrer ni de justifier que je continue de me battre. »

Alors, fini la « Marianne guidant le peuple » ? Dany est convaincue qu’il faut pourtant des personnes capables de porter la parole de tous ceux qui ont cru dans un mouvement inédit qui aura marqué une époque.

« Beaucoup d’élus aujourd’hui sont coupés complètement des réalités quotidiennes des gens. Il faut commencer par changer ça. »

Fidèle au poste

Quant à la violence, souvent indissociable de mouvements populaires, la manifestante aguerrie ne la comprend pas toujours mais elle n’en condamne plus toutes les formes, contrairement à ses débuts sur la scène des gilets jaunes. « Maintenant, je m’en fous qu’on badigeonne une enseigne pétrolière ou une celle d’une banque mais pourquoi brûler des voitures qui appartiennent peut-être à des gens comme nous ? Les violences contre les policiers, je ne suis pas d’accord non plus, bien sûr mais quand on voit comment réagissent certains face aux manifestants, ils outrepassent leur fonction. J’ai quand même pris quelques coups de matraque et de boucliers alors que je participais en tant que secouriste, avec un brassard ’medics’. »

D’ailleurs, lors du rassemblement anniversaire du 16 novembre, l’ambulancière sera fidèle au poste, dans les rues parisiennes. Mais sans son brassard.

Fontainebleau. Jonathan, le premier porte-parole de l’Obélisque a tourné la page

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Jonathan, il y a un an, animait le groupe des Gilets jaunes de Fontainebleau

Jonathan, il y a un an, animait le groupe des Gilets jaunes de Fontainebleau

Il lui a fallu quelques mois pour tourner la page, et « redresser la barre ». Jonathan, il y a tout juste un an, était le leader de l’important groupe des Gilets jaunes de Fontainebleau.
Ce jeune papa, qui possède son entreprise de paysagiste, décide alors de tout arrêter pour se consacrer à la cause. Avec, forcément, des conséquences sur sa vie personnelle et professionnelle : « je ne regrette pas tout ce que j’ai fait, dit-il, même tous les problèmes que j’ai connus. La seule chose que je regrette, c’est de ne pas avoir été suivi par plus d’artisans et de PME. En s’y mettant tous, on aurait pu vraiment faire tomber le gouvernement ».

Sur tous les fronts, Jonathan anime l’Obélisque tous les samedis, organisant les manifestations et la vie du groupe. L’aventure s’est mal terminée, et Jonathan a dû se battre pour redresser son entreprise : « j’ai une saison très chargée pour rattraper l’année dernière. Désormais, je suis l’actualité des Gilets jaunes, mais en retrait ». Certains l’appellent pour lui demander des conseils, et pour le premier anniversaire du mouvement, il suivra les actualités… devant sa télévision. « A Fontainebleau, certains ont repris le flambeau, c’est une bonne chose ».

« Quelque chose ne va pas »

En retrait, mais toujours Gilet jaune dans l’âme : « bien sûr que je suis toujours en colère. J’attends les prochaines présidentielles pour que M.Macron s’en aille, mais j’espère que ce ne sera pas trop tard pour défaire ce qui a été fait. Quand je vois qu’ils sont capables d’envoyer les CRS sur les pompiers, ça me dégoûte. Quelque chose ne va pas, mais ils se sentent intouchables ».

Pendant des semaines Jonathan, très exposé, est devenu un « bon client » pour les médias : « une équipe de LCP est même venue me filmer chez moi, mon quotidien en tant que Gilet jaune. J’ai joué le jeu à 100 %. Je reste amer quand je vois que de grosses pointures comme Eric Drouet habite à Melun et n’a jamais pris contact avec le groupe de Fontainebleau qui était le plus important et le plus dynamique du département… ».
Pour Jonathan, l’expérience « Gilet jaune » fait partie du passé. Sans regret : « Ma priorité, c’est ma famille ».
Yoann VALLIER

A Giverny, Objectif Top chef pour un cuisinier du Jardin des plumes

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Vikram Singh, 20 ans, est candidat du concours Objectif Top chef sur M6.

Vikram Singh, 20 ans, est candidat du concours Objectif Top chef sur M6.

Affronté le charismatique chef Philippe Etchebest sans se laisser déstabiliser : le jeune Vikram Singh, 20 ans, a relevé le défi. Apprenti cuisinier au restaurant étoile Le jardin des plumes à Giverny, le jeune homme a participé au concours Objectif Top chef. Enregistrée à l’été dernier à Bordeaux, l’émission doit être diffusée à partir du 18 novembre 2019 sur M6.

Lire aussi : Guide Michelin 2019 : le Jardin des plumes à Giverny conserve son étoile

Compétiteur

Le jeune cuistot concède avoir l’âme d’un compétiteur. Son aventure télévisuelle a d’ailleurs commencé par un concours : « Je suis en formation au CFAIE de Val-de-Reuil. En mars dernier, on a réalisé un concours avec la présence de deux anciens candidats de Top chef, Florent Barbarot et Camille Maury. Ils m’ont félicité pour mon plat, un merlan au Shiitaké. (NDRL : un champignon noir cultivé surtout en Chine). Ils m’ont incité à envoyer un CV pour participer à l’émission et je me suis lancé », raconte Vikram.

Lire aussi : Un jeune habitant de La Ferrière-aux-Etangs participe à l’émission Objectif Top Chef sur M6

Trouver « la perle rare »

Dans Objectif Top chef, le meilleur Ouvrier de France, Philippe Etchebest, espère monter une brigade, qui, pour la 3e année consécutive, lui permettrait de gagner le concours Top chef ! Il espère ainsi trouver la perle rare parmi plus d’une centaine de candidats : des apprentis mais aussi pour la première fois cette année, des cuisiniers amateurs.

Tout au long de la compétition, le chef pousse les candidats à s’améliorer sur le goût et l’association de saveurs, mais aussi – et pour la première fois – sur le visuel du plat. « J’avais envie qu’un autre grand chef juge ma cuisine, explique Vikam. Dans notre métier, on apprend tous les jours. J’avais envie de montrer de quoi j’étais capable ».

Mariage des saveurs

Pour convaincre Philippe Etchebest, Vikram s’est entraîné avec le chef du Jardin des plumes, David Gallienne. Ce dernier a joué les goûteurs pour parfaire la recette de son protégé.

J’ai proposé un poulet avec des samossas aux légumes, du blé noir et des champignons sautés. Le chef a semblé apprécier le mélange de saveurs entre cuisine indienne, mes origines, et la cuisine française ».

Le jeune cuisinier aime marier les épices : la cardamome, le curcuma, la cannelle, le curry. Il aime mélanger les influences et aime particulièrement cuisiner la volaille.

Résister à la pression

Au restaurant de Giverny, Vikram apprend la rigueur : « Il faut que tout soit parfait, et se donner à fond ». Il se perfectionne chaque jour sur de nouvelles techniques mais profite aussi d’un esprit de brigade. « Ici, on peut participer à l’élaboration d’une recette. On est une équipe. Il y a peu de temps, on a réalisé une recette avec un naan, un pain typiquement indien ».

Pour le concours, Vikram savait qu’il devrait montrer sa résistance à la pression :

 On a tourné l’été, il faisait chaud et on avait le chef derrière l’épaule, se souvient-il, amusé. Le chef Etchebest prend vraiment son temps pour déguster, il fait durer le suspense, il faut gérer le stress de l’attente du verdict ».

Ce qu’aime Vikram dans son métier, c’est imaginer ses recettes : «  Une recette, il faut la penser, bien y réfléchir avant de se lancer ».

Arrivé en France à l’âge de 15 ans, le jeune homme a toujours rêvé de cuisine :

 Quand j’étais petit, j’aidais ma mère à faire à manger. On connaît la réputation de la cuisine française, c’est pour cela que j’ai voulu apprendre ici ».

Après avoir fait ses armes également au Bistrot des fleurs de Vernon, le cuisiner prépare son brevet professionnel pour ensuite se lancer complètement dans la vie active. Le rêve du jeune Vikram : ouvrir un jour son restaurant en France.

Pour suivre Vikram face au chef Etchebest à partir du 18 novembre : Objectif Top chef, du lundi au vendredi à 18h35 sur M6.

Bosrobert. Les camions roulent à l'huile de colza !

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Sébastien Voisin, le patron de la société, devant la cuve installée pour faire le plein des camions avec de l'Oleo 100.

Sébastien Voisin, le patron de la société, devant la cuve installée pour faire le plein des camions avec de l’Oleo 100.

« Vous voulez goûter ? » Être invité à tremper son doigt dans du carburant à 8 h du matin, cela surprend. Mais il n’y avait aucun risque pour la santé. Car il ne s’agissait pas de gasoil ou d’essence sans plomb, mais d’huile de colza. Voilà la nouvelle énergie utilisée par la société Blondel-Voisin, créée en 1986 et basée à Bosrobert, pour faire tourner une cinquantaine de camions. Sébastien Voisin, le patron, a découvert l’idée en parcourant une revue professionnelle.

On est spécialisé dans le transport de marchandises agricoles (céréales, solutions azotées, aliments du bétail…), alors on s’est dit qu’on était les plus aptes à utiliser ce carburant », explique-t-il.

L’Oleo 100, c’est son nom, est une énergie renouvelable issue à 100 % du colza et développée par le groupe Avril, premier groupe industriel et financier dans les filières des huiles et des protéines en France.

Aucune modification technique

La société Blondel-Voisin a commencé par tester cette solution verte sur quelques camions entre mai et juillet, puis est passée à une cinquantaine de véhicules au cours de l’été. « Cela coûte le même prix que le gasoil, il y a une légère surconsommation et une petite perte de puissance », constate Sébastien Voisin.

Aucun changement technique n’a été nécessaire dans la motorisation, une bonne nouvelle pour les ateliers de maintenance, le B100 étant compatible avec une large gamme de moteurs (ce carburant a fait l’objet d’une définition et d’une normalisation au niveau européen). Une cuve et un distributeur ont été fournis à Blondel-Voisin par Oleo100, dont les équipes assurent un suivi.

Pas de danger

Le bilan carbone est incomparable avec celui du carburant pétrolier. « Écologiquement, c’est super bon », se réjouit le patron. L’Oleo100 restitue 3,7 fois plus d’énergie qu’il n’en nécessite pour être produit, explique le groupe Avril en citant l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). Une baisse de 60 % des émissions de gaz à effet de serre est aussi relevée par rapport au gasoil d’origine fossile. « Et puis en termes de sécurité, ce n’est pas dangereux pour la santé et l’environnement, contrairement au pétrole », ajoute Sébastien Voisin, qui apprécie aussi le caractère vertueux de ce biocarburant qui s’inscrit dans la droite ligne de la transition énergétique.

 

Le colza utilisé pour fabriquer l’Oleo100 est cultivé par des producteurs locaux. Des agriculteurs jusqu’à la livraison dans la cuve, l’origine du produit est tracée. « On est dans un circuit très court, souligne le chef d’entreprise. Et quand on écrase du colza, on obtient des tourteaux qui serviront à la nourriture des élevages et éviteront d’importer du soja. »

Du bon sens

Selon Sébastien Voisin, les coopératives agricoles se posent la question d’utiliser l’Oleo100. Dans le transport, « cela va se développer l’année prochaine avec de grands groupes, des problèmes fiscaux ont été débloqués ». « Il fallait un fou comme moi pour essayer », s’amuse-t-il. Le patron a vite convaincu ses chauffeurs, parfois dubitatifs au départ. « Ils sont contents du produit et fiers de cette innovation dans leur entreprise. »

On ne connaît pas le carburant de demain, mais je pense qu’on aura un peu de gasoil, un peu d’électrique, un peu de gaz et un peu d’huile de colza », poursuit-il.

Sébastien Voisin ne se revendique pas écolo et préfère parler de bon sens. « Je trouve plus intelligent d’avoir un camion qui fait 30 km pour me livrer mon carburant à base d’huile de colza plutôt qu’un énorme tanker qui traverse l’océan », dit-il.

 

C’est à cette aune qu’il a choisi aussi de récupérer les eaux de pluie pour laver les camions. Et d’installer 100 m² de panneaux photovoltaïques sur le parking de son entreprise, qui lui fournissent 10 % de son électricité. Le chef d’entreprise avait même essayé d’implanter une éolienne. Mais celle-ci menaçait d’exploser lorsque le vent était trop fort, il a donc préféré la retirer avec prudence.

Lire aussi : Dans l’Eure, une nouvelle caserne pour les pompiers de Beaumont-le-Roger avant Pacy-sur-Eure et Le Neubourg

La Salon de l'Enfant signe son retour ce week-end à Mayenne

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Delphine Lemaitre de May Event et Stéphanie Angot-Franget de SAA Animations, les organisatrices du Salon de l’Enfant vous attendent dimanche 17 novembre, à la salle polyvalente.

Delphine Lemaitre de May Event et Stéphanie Angot-Franget de SAA Animations, les organisatrices du Salon de l’Enfant vous attendent dimanche 17 novembre, à la salle polyvalente. (©Le Courrier de la Mayenne.)

Loisirs, habillement, bien-être, photographie, tombola… Sans oublier des hottes pleines de surprises !
Ce Salon de l’Enfant sera entièrement dédié aux tout-petits et à leurs parents. Un avant-goût de Noël.

La parentalité positive expliquée

C’est tout ce que promet cette 2e édition du Salon de l’Enfant organisée conjointement par May Event et SAA Animations.

« En 2018, nous avions organisé le 1er Salon de l’Enfant en avril  avec le concours de Planet’Mômes », explique Stéphanie Angot-Franget de SAA Animations.

Ce salon destiné aux enfants avait été un succès. Nous avons décidé de renouveler l’opération, mais en novembre cette fois.»

Dimanche 17 novembre, les parents pourront  découvrir les dernières tendances en lien avec la petite enfance.  Et dans ce domaine, les nouveautés ne manquent pas.

Rencontre avec Olaf

« Les parents pourront rencontrer un photographe professionnel spécialisé dans les naissances ainsi qu’une lectrice de conte. Ils pourront également s’initier aux massages pour bébé et aux dernières tendances bien-être », détaille l’animatrice de SAA Animations.

Les enfants pourront également rencontrer Olaf, en personne, l’ami de la Reine des neiges. Il sera présent à la salle polyvalente de 11h à 12h30 puis de 15h à 17h. »

Ce salon sera également l’occasion d’explorer un nouveau concept qui commence à se faire un nom parmi les jeunes parents. C’est le concept de la parentalité positive. 

La parentalité positive, revient sur le métier de parents.  C’est l’un des plus beaux mais aussi un des plus difficiles qui soit… à la fois gratifiant et lourd de responsabilités ! »

« La parentalité plus que le simple fait d’être parent, c’est prendre son rôle de parent au sérieux pour préparer son enfant à devenir un adulte conscient, responsable, bien dans sa peau et à l’aise dans ses relations sociales comme affectives », souligne Stéphanie.

 Objectif : donner des outils permettant aux parents de mieux gérer ce genre de situations difficiles ! 

Pratique : dimanche 17 novembre, de 10h à 18h, à la salle polyvalente. Entrée gratuite.  Tombola et cadeaux à gagner.


Santé en Sarthe : Charlotte Launay, sophrologue, s'est installée à Chevillé

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Charlotte Launay, nouvelle sophrologue.

Charlotte Launay, la nouvelle sophrologue installée à Chevillé (Sarthe).

Charlotte Launay vient d’ouvrir son cabinet de sophrologie à Chevillé (Sarthe). Après avoir travaillé comme secrétaire médicale en centre hospitalier et auprès de médecins généralistes, puis comme assistante de gestion, la sophrologie s’impose à elle.

« J’ai connu la sophrologie comme cliente lors de ma grossesse, j’ai suivi des séances pour préparer positivement mon accouchement. Puis, quelques années plus tard, un membre de ma famille qui souffrait de céphalées a suivi des séances pour gérer ses douleurs. Quand l’entreprise où je travaillais a délocalisé, j’ai saisi l’opportunité de me tourner vers ce nouveau métier de sophrologue », explique Charlotte, de sa voix douce et posée.

Qu’est-ce que la sophrologie ?

Elle décide de s’inscrire à l’École Française de Sophrothérapie, école certifiante, gage de qualité, car elle est inscrite au Registre national de la certification professionnelle reconnu par l’État.

La sophrologie est une méthode créée en 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo qui utilise différentes techniques de respiration consciente, relaxation physique et mentale, visualisation positive afin d’équilibrer les émotions, le corps et le mental.

Elle permet de tendre vers un mieux-être et à devenir autonome dans la pratique.

« Je mets à disposition des outils, des exercices simples à reproduire chez soi. La sophrologie peut être utile pour se préparer à un événement (examen, entretien…), pour mieux gérer ses émotions, retrouver confiance en soi, se déconditionner d’une peur. »

Mal-être au travail, manque de considération, démotivation ? Lisez et partagez !Retrouvez-moi sur www.charlottelaunay-sophrologue.fr

Publiée par Charlotte Launay Sophrologue sur Jeudi 7 novembre 2019

Aussi pour l’enfant et l’adolescent

C’est une méthode exclusivement verbale et non tactile qui se déroule à son cabinet, 2, rue Saint-Aubin à Chevillé et ne nécessite pas de tenue vestimentaire particulière.

Charlotte est également spécialisée dans la prise en charge de l’enfant et de l’ado. Elle intervient auprès des enfants à l’école Claude Chappe de Brûlon pendant les Temps d’Activités Périscolaires (TAP).

Elle rappelle que la sophrologie ne se substitue pas à un avis ou un traitement médical.

Certaines mutuelles remboursent une partie des séances. Tarif : adultes 50 € (forfait 6 séances 270 €), ados 12-18 ans 40 €, enfants 30 €.

Tel : 06 17 98 83 22. E-mail : charlotte.launay@hotmail.fr

Un an après, les gilets jaunes retrouvent le rond-point… et le moulin de Flixecourt

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Hors association, les gilets jaunes donnent rendez-vous sur le rond-point de l'autoroute A16 à l'entrée de Flixecourt

Hors association, les gilets jaunes donnent rendez-vous sur le rond-point de l’autoroute A16 à l’entrée de Flixecourt (©Le Journal d’Abbeville)

« Nous, c’est hors association, il ne faut pas confondre… »

Dimanche 17 novembre, un an jour pour jour après le début du mouvement, les gilets jaunes de Flixecourt se retrouveront sur le rond-point de l’autoroute A16, là où leur campement a été installé pendant tant de semaines jusqu’au début 2019.

Des désaccords…

Les gilets jaunes, ou plutôt « des » gilets jaunes : cette manifestation est lancée par trois figures historiques du mouvement flixecourtois, Christel, Emilie et Helena, qui étaient déjà présentes sur le rond-point le 17 novembre 2018, mais qui ne font plus partie de l’association. « Parce qu’il y avait trop de désaccords », expliquent-elles simplement.

Lire aussi : Les Gilets jaunes d’Abbeville déjà sur le terrain

Des désaccords, il y en a eu beaucoup au sein de ce mouvement si protéiforme. Des rancœurs, des oppositions souvent vives, voire des guerres de pouvoir.

Aujourd’hui, deux mouvements persistent : l’association, et les autres. Un distinguo qui a paradoxalement contribué à apaiser les rapports.

… mais des revendications communes

« Elles ont quitté l’association, mais on partage le même combat », souligne Eddie Langlacé, porte-parole de l’association.

Christel Herbet, l’une des initiatrices du rassemblement sur le rond-point ce dimanche, renchérit :

Il y a des différends entre nous, mais on se parle. D’ailleurs, on leur a proposé de nous rejoindre pour cet anniversaire.

Une invitation à laquelle les membres de l’association ont préféré ne pas donner suite, organisant leur propre rassemblement de l’autre côté de Flixecourt, au niveau du moulin.

Côté association, les gilets jaunes manifesteront côté moulin de Flixecourt

Côté association, les gilets jaunes manifesteront côté moulin de Flixecourt (©Le Journal d’Abbeville)

Deux groupes, deux manifs

Eddie Langlacé le rappelle :

Il y a un an, c’est comme ça que tout avait commencé : avec deux manifestations de chaque côté de Flixecourt.

À l’époque, les manifestants du moulin avaient fini par grossir les rangs au rond-point de l’autoroute. Il ne devrait pas en être de même ce dimanche, malgré les revendications communes, et la méthode commune.

Lire aussi : Un an des Gilets jaunes : manifestations interdites pendant trois jours, Paris sous tension

D’un côté comme de l’autre, pas question de bloquer la circulation : ce sera distribution de tracts, sensibilisation des automobilistes à l’aide de banderoles et de discussions, pour ceux qui voudront bien s’arrêter, puis lâcher de ballons.

« Jaunes, les ballons, précise Helena. D’ailleurs, on incite tous ceux qui viendront sur le rond-point à porter du jaune, et pas uniquement des gilets. »

Un anniversaire pour donner un nouveau souffle au mouvement

Pour Christel, Emilie et Helena, ce rendez-vous du 17 novembre est plus qu’un simple anniversaire.

« C’est l’occasion de remotiver les gens, clament-elles. Parce que toutes les revendications que nous avions il y a un an sont toujours valables. Rien n’a changé, depuis. »

Ce mouvement a-t-il été inutile pour autant ? « Ah non ! rétorquent les trois jeunes femmes d’une même voix. Il aura au moins servi à tisser des liens. »

Lire aussi : Gilets jaunes : un an après, que reste-t-il du mouvement ?

Sur le rond-point, ils avaient découvert la solidarité

Sur le rond-point, c’est avant tout une solidarité inédite qu’elles ont découverte.

De ces longues semaines dans le campement, elles gardent même une vraie nostalgie :

Oui, ça nous manque. Là-bas, on a créé du lien social, et ça, ça n’a pas de prix. On a passé des moments forts, c’est une sorte de communauté qui s’est créée…

D’ailleurs, toutes trois se souviennent parfaitement du jour où le campement a été démantelé. « C’était le 21 janvier », lâchent-elles, une pointe d’amertume dans la voix.

Avant de, vite, retrouver le sourire. Emilie raconte :

Quand le mouvement a commencé, je vivais à Flixecourt depuis deux ans et je ne connaissais personne. Aujourd’hui, je ne peux plus sortir sans rencontrer des gens que je connais…

Des rencontres hebdomadaires pour l’association

Toutes trois savent que retrouver une telle cohésion sera difficile, les campements étant désormais interdits.

« Mais on s’accroche, ajoute Christel. De toute façon, on n’a pas vraiment le choix : boucler les fins de mois est toujours aussi difficile, et ce n’est qu’ensemble qu’on pourra espérer obtenir quelque chose. »

Côté association, on a toujours un semblant de campement : un terrain privé à l’angle de la route menant à Ville le Marclet, où les gilets jaunes se retrouvent encore très régulièrement.

L’association organise également des réunions hebdomadaires chaque mercredi en fin de journée, dans la maison des associations que la commune lui met à disposition. C’est là que les décisions sont prises, de manière collégiale.

Le mouvement ne s’est jamais arrêté

Dans un cas comme dans l’autre, et même s’ils sont nettement moins visibles à Flixecourt qu’autrefois, les gilets jaunes affirment n’avoir pas baissé la garde.

« Nous sommes présents sur les grands rassemblements de la région », précise ainsi Eddie.

Christel, Emilie et Helena aussi, ont participé à de nombreux rassemblements, de Paris à Rouen en passant par Lille ou Amiens.

Les deux dernières se sont d’ailleurs engagées dans les « street medics », un mouvement informel de bénévoles qui assurent les premiers secours en cas de problème lors des grandes manifestations.

Aujourd’hui, c’est à Flixecourt que les deux groupes espèrent redonner un nouvel élan au mouvement. Chacun de leur côté, pour le moment…

Dimanche 17 novembre à Flixecourt : à partir de 10h30 au moulin, et à partir de 13h30 sur le rond-point de l’autoroute

Seine-et-Marne. Comment mettre en place le dispositif "participation citoyenne"à Crécy-la-Chapelle

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La réunion d’information se tiendra mercredi 20 novembre à 19 h, salle Altmann à Crécy-la-Chapelle.

La réunion d’information se tiendra mercredi 20 novembre à 19 h, salle Altmann à Crécy-la-Chapelle. (©Illustration / Actu.fr / L’Impartial)

Une réunion publique d’information va être organisée par la municipalité de Crécy-la-Chapelle et la gendarmerie, mercredi 20 novembre 2019, à partir de 19 h dans la salle Altmann, dans une démarche de « participation citoyenne ». Le but : informer sur un dispositif visant à lutter contre les cambriolages et les incivilités en adoptant « une attitude solidaire et vigilante ainsi qu’en informant les forces de l’ordre de tout fait particulier ».

Encadrée par la gendarmerie nationale, « participation citoyenne » vient conforter les moyens de sécurité publique déjà mis en œuvre.

Lire aussi : Seine-et-Marne. Cambriolage : deux individus arrêtés en flagrant délit à Montévrain

Renforcer la tranquillité au cœur des foyers

La mairie de Crécy-la-Chapelle détaille les objectifs de la démarche « participation citoyenne » : établir un lien régulier entre les habitants d’un quartier, les élus et les représentants de la force publique, « accroître la réactivité des forces de sécurité contre la délinquance d’appropriation » et « renforcer la tranquillité au cœur des foyers et générer des solidarités de voisinages ».

Sport. Blandine L'Hirondel au pied du mur en Argentine

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Depuis son titre en juin 2019 au Portaugal, Blandine L'Hirondel ne peut plus « se cacher »

Depuis son titre en juin 2019 au Portugal, Blandine L’Hirondel ne peut plus « se cacher »

Ce samedi 16 novembre 2019, Blandine L’Hirondel (ARC-Alençon Running Club, Orne) sera au départ du championnat du monde de course en montagne, en Patagonie (Argentine).

Au menu : 41km et 2 180 m de dénivelée positive.

Départ à 8h40 (12h40 heure en France).

Blandine L’Hirondel, championne du Monde de trail  en individuel et par équipes ( au Portugal en juin dernier), remportera-t-elle un troisième titre mondial la même année ?

Arrivée tôt sur place, elle a reconnu le parcours car la concurrence est vive : les Suissesses Maud Mathys et Judith Wyder, grandes favorites, et leur collègue Simone Troxler, 23 ans, espoir du trail.

Citons également les Espagnoles Sheila Aviles, Azara Garcia de Los Calmons, Eli Gordon, l’Allemande Laura Dahlmeier, la Britannique Charlotte Morgan, les Américaines Rachel Drake et Ashley Brasovan, l’Italienne Silvia Rampazzo , la Roumaine Denisa Dragomir…

Verdict ce samedi 16 novembre dans l’après-midi.

Voutré : un plombier chauffagiste s’installe

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Jean-Christophe Lépine-Chatreix pose, entretient, dépanne et fournit une salle de bain clé en main.

Jean-Christophe Lépine-Chatreix pose, entretient, dépanne et fournit une salle de bain clé en main. (©Le Courrier de la Mayenne)

Un nouveau plombier-chauffagiste-électricien s’installe à Voutré.

Jean-Christophe Lépine-Chatreix 30 ans, marié, deux enfants, travaillait dans l’entreprise Bouteloup (Evron) depuis 2011.

Titulaire de trois CAP en plomberie, chauffage et électricité, il explique : « Ouvrir mon entreprise était un projet que j’ai réalisé en août 2019.  Avec un BP dépannage et la qualification RGE, mon domaine d’intervention s’étend aux chantiers, installation et rénovation, salle de bain clé en main avec peinture, pose faïence et carrelage mais seulement pour les salles de bain, tout cela sur un rayon d’intervention de 90 km. En ce qui concerne le dépannage 7jours sur 7, je me limite aux Coëvrons et au pays de Sillé-le-Guillaume. »

Contact : Jean-Christophe Lépine-Chatreix, plombier-chauffagiste et électricien, installation, entretien et dépannage 7j/7, 12 Les Templeries, Voutré tél 07 78 57 57 47.

 

Gilets jaunes. Voici ce qui est prévu à Toulouse, samedi, pour les un an du mouvement

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Voici ce qui est prévu à Toulouse, samedi 16 novembre 2019, pour les un an du mouvement des gilets jaunes.

Voici ce qui est prévu à Toulouse, samedi 16 novembre 2019, pour les un an du mouvement des gilets jaunes. (©Frédéric Scheiber / Actu Toulouse (archives))

Un an après, ils veulent marquer le coup. Pour le premier anniversaire de leur mouvement, les Gilets jaunes appellent à manifester, samedi 16 novembre 2019, sur les Champs-Elysées, à Paris. Mais de nombreuses manifestations sont également prévues en région, et y compris à Toulouse, ville bastion des gilets jaunes. Voici ce qui est prévu pour l’acte 53 des Gilets jaunes, dans la Ville rose. 

Lire aussi : Un an après, que reste-t-il des gilets jaunes à Toulouse, bastion du mouvement ?

Ils veulent reprendre les ronds-points

Pour fêter leur « un an de lutte », les gilets jaunes prévoient d’abord de se mobiliser – comme il y a douze mois – sur les ronds-points

« Le 17 novembre 2018 tout à commencé sur les ronds-points. Durant plusieurs mois nous les avons tenus, certains jours et nuits ! Ces ronds-points sont tout une histoire ! Ils nous ont permis de créer du lien entre nous, de discuter des modes d’action, des revendications (…). Cette date du 16 novembre 2019, qui représente les un an des « GJ », est importante et est l’occasion de se retrouver enfin », expliquent les gilets jaunes toulousains, sur les réseaux sociaux.  

Un appel à retourner vers les ronds-points « historiques » de la mobilisation a donc été lancé. Un retour aux sources, donc, puisque ces ronds-points ont été pour la plupart abandonnés au fil des mois, en raison de l’essoufflement du mouvement. Neuf ronds-points ont été ciblés dans l’agglomération toulousaine. Une question demeure pour le moment en suspens : les gilets jaunes parviendront-ils à mobiliser autant qu’il y a un an, où plusieurs milliers de personnes avaient répondu aux appels lancés sur les réseaux sociaux ? Réponse samedi.

Lire aussi : Un an après, que reste-t-il des gilets jaunes à Toulouse, bastion du mouvement ?

Voici les ronds-points où les gilets jaunes appellent à se mobiliser. 

  • Sesquière (306 avenue des Etats-Unis, Toulouse)
  • Eurocentre (1, avenue de Fontréal, Villeneuve-les-Boulocs)
  • Rond-Point du Perget (chemin du Loudet, Colomiers)
  • Parking Auchan Balma-Gramont (Toulouse)
  • Socamil (2 chemin de Larramet, Tournefeuille)
  • Montastruc (Aire de Covoiturage de Garidech)
  • Mirail (rond-point Charles Fabre, Toulouse)
  • Muret (Rond-point de Mercedes)
  • Ramonville (rond-point situé au 106 avenue Tolosane)

Manif à 14 heures au centre-ville

La mobilisation des gilets jaunes ne s’arrêtera pas à la « reprise » des ronds-points. Plus classiquement, un appel a été lancé sur les réseaux sociaux pour manifester au centre-ville de Toulouse. Le rendez-vous a été donné à 14 heures, au niveau du métro Jean-Jaurès, point de départ des manifestations le samedi. Une manifestation qui ne sera pas déclarée en préfecture, et qui n’aura donc pas de parcours officiel.

La place du Capitole interdite 

Sur décision de la préfecture, la place du Capitole sera interdite aux gilets jaunes, de 13h00 et 20h00. « Toute personne manifestant dans la zone d’interdiction s’exposera à une contravention de 4e classe, soit 135 € d’amende », précise la préfecture de la Haute-Garonne. Qui poursuit :

Toute manifestation ou rassemblement occasionnant des troubles à l’ordre public donnera lieu à une dispersion immédiate par les forces de l’ordre et à l’interpellation des éventuels auteurs d’actes de violence. Comme pour les manifestations précédentes, le dispositif encadrant la manifestation a été substantiellement renforcé par des forces mobiles afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens. 

Transports perturbés 

Au centre-ville, les transports en commun seront perturbés. « À partir de 13h30, la Navette Aéroport ainsi que les lignes L1, L4, L7, L8, L9, 14, 15, 23, 27, 29, 39, 44, 45, 63 et 70 sont déviées. La Navette Centre-Ville et la ligne 31 sont suspendues. Les déviations mises en place facilitent les correspondances avec les lignes A et B du métro afin de poursuivre vos déplacements », précise Tisséo. 

Chémeré-le-Roi : Becca propose le massage amma

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Le massage Amma est issu du shiatsu.

Becca Hillyer, Franco-américaine est installée à Chémeré-le-Roi depuis trois ans. (©Miguel Hyacinthe)

Professeur d’anglais, musicienne et cheffe de chœur, Becca Hillyer lance une activité de massage relaxant.

Becca Hillyer, Franco-américaine, est installée à Chémeré-le-Roi depuis trois ans. Depuis juillet, elle est certifiée masseuse amma, une pratique issue du shiatsu.

A la fois relaxant et redynamisant, cette forme d’acupression permet de réduire le stress et le surmenage, de rehausser l’efficacité et la vitalité et de rééquilibrer le mental et le physique. Il se pratique sur une chaise ergonomique et dure une vingtaine de minutes.

Testé sur les artistes du Trouvère à Ballée

« Le massage est quelque chose qui m’a toujours passionnée, explique Becca. A l’école de musique aux États-Unis, je le pratiquais avec des amis pour nous détendre après des heures de répétition. Habituée de l’acupuncture, j’ai vite constaté que cela permettait de me soulager des douleurs importantes au niveau des épaules ou du dos et que je ressentais un immense bien-être. Dans une société qui est terriblement stressante et anxiogène, je pense que je peux être utile. »

Pour valider son diplôme, la musicienne a trouvé la centaine de cobayes nécessaires parmi les choristes et musiciens de l’opéra Le Trouvère à Ballée.

Becca travaille au domicile des personnes qui la sollicitent et peut intervenir avec des groupes de quatre ou cinq personnes sur une demi-journée. Le massage dure environ 20 minutes et reste accessible puisqu’il vous en coûtera 20 € par personne.

Pratique : 06 72 93 86 97 ou bhillyer36@gmail.com


Saint-Nazaire : un marché pour fêter Noël sans déchets

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Justine Genois, présidente de lassociation Zéro déchet Saint-Nazaire, organisatrice du marché de Noël éco-responsable

Justine Genois, présidente de l’association Zéro déchet Saint-Nazaire, organisatrice du marché de Noël éco-responsable

L‘association Zéro déchet Saint-Nazaire organise samedi 16 et dimanche 17 novembre 2019, au Garage à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), un marché de Noël écologique et responsable.

À Noël, mètres de papiers cadeaux, restes alimentaires, nappes en papier et décorations finissent souvent au fond d’un bac à ordures.

La Carene nous a confirmé qu’après Noël, les poubelles débordent,

regrette Justine Genois, présidente de l’association Zéro déchet Saint-Nazaire.

Fondée en début d’année, cette association qui prône la limitation des déchets dans notre vie quotidienne organise ce week-end, au Garage, son premier marché de Noël éco-responsable.

On veut montrer que le réveillon de Noël peut être un moment festif et joyeux, sans sur-consommation et dans une démarche écologique. Dé-consommation, réemploi, sobriété et réduction des déchets seront les maîtres-mots de ce marché de Noël.

Une quinzaine d’exposants

Une quinzaine d’exposants seront présents tout au long du week-end, proposant des alternatives pour profiter des fêtes de manières plus écologique : épicerie 100 % vrac, papiers cadeaux réutilisables en tissus, bijoux façonnés et peints à la main, bibelots et objets confectionnés avec de vieilles chambres à air…

Le marché de Noël proposera aussi un focus sur le ré-emploi et les cadeaux de seconde main avec trois associations : Emmaus Trignac-Saint-Nazaire, la Recyclerie « Au Bonheur des Bennes » et les Scientifiques du fil.

Pour les plus jeunes, un coin enfants sera aménagé avec des coloriages coopératifs, une sensibilisation à la démarche zéro déchet avec l’autopsie d’une poubelle et un atelier maquillage, le samedi de 14 h à 18 h et le dimanche de 12 h à 16 h.

L’association Zéro déchet Saint-Nazaire présentera aussi une exposition avec des idées concrètes et accessibles pour réinventer Noël : le sapin, la table et le menu, la décoration, le calendrier de l’avent, les emballages cadeaux, les idées cadeaux…

Nous proposerons aussi des recettes de cuisine pour mieux manger et, pourquoi pas, manger végétarien. Pour les fêtes, nous mangeons en grande quantité des aliments dont la production a des effets négatifs sur l’environnement et notre santé.

Les organisateurs invitent, dans une démarche de réduction des déchets, les visiteurs à apporter leurs propres sacs vrac et leurs contenants.

Marché de Noël éco-responsable, samedi 16 et dimanche 17 novembre, au Garage, rue des halles, à Saint-Nazaire, de 10 h à 19 h. Entrée gratuite. Buvette et petite restauration sur place.

Météo. Découvrez les prévisions dans le Val-de-Marne pour ce samedi 16 novembre

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Après la neige, le calme est de retour dans le Val-de-Marne ! La journée commencera sous de nombreux avec quelques averses faibles sous forme de pluie, quelques bancs de brume sont possibles en particulier sur l’Est du département. Les températures seront de saison avec de 4 à 5°c.

Lire aussi : Météo. Les premières neiges dans le Val-de-Marne ce vendredi 15 novembre

En après-midi, le temps reste très nuageux avec même localement des nuages bas et quelques rares et furtives éclaircies. Les températures seront fraîches avec de 6 à 7°c. En soirée, le ciel se dégager avec des températures qui en profitent pour baisser avec de 2 à 4°c.

Football (N2) : Corentin Rocu de retour à l'AS Vitré

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Corentin Rocu a retrouvé le couloir gauche de la défense vitréenne.

Corentin Rocu a retrouvé le couloir gauche de la défense vitréenne. (©Le Journal de Vitré)

Après un départ à l’intersaison, le latéral gauche Corentin Rocu a finalement décidé de rechausser les crampons avec l’AS Vitré.

Il veut aider l’équipe à se maintenir.

Quelles sont les raisons de votre départ à l’intersaison ?

J’ai eu des discussions avec certains clubs et, dans le même temps, Vitré avait recruté un joueur à mon poste (en l’occurrence Steven Da Veiga).

Finalement, mes discussions avec les clubs en question n’ont pas abouti.

Lire aussi : Coupe de France de football : le joueur de l’AS Vitré Corentin Rocu ne regrette rien

Pourquoi avez-vous décidé de revenir et à quelle période ?

Comme je n’ai pas trouvé d’accord avec les autres clubs, j’ai demandé aux dirigeants de Vitré s’il était possible que je réintègre le club et ces derniers ont accepté.

Finalement, j’ai rejoint l’équipe à la fin du mois d’octobre, avant le match face à Fleury (victoire 3-2 des Sang et Or).

Je connaissais évidemment déjà beaucoup de joueurs dans l’équipe et l’ambiance dans le vestiaire à mon retour était aussi bonne que l’année dernière malgré les débuts compliqués.

Le choix d’un retour à Vitré était intéressant également d’un point de vue personnel, comme je suis originaire de Laval.

Lire aussi : Football : Thierry Rebillon aux côtés d’Emmanuel Aubert pour diriger l’AS Vitré

Quelles sont vos ambitions pour cette saison ?

Mes ambitions sont avant tout collectives, il faut essayer de maintenir le club en N2. C’est le gros objectif de cette année au vu du début de saison un peu compliqué.

Je vais essayer d’aider au mieux l’équipe. Plus les joueurs seront performants, plus les résultats seront là et le club arrivera à atteindre ses objectifs.

Le début de saison s’est soldé par beaucoup de matches nuls et ça s’est forcément ressenti sur le classement.

L’élimination en Coupe de France a peut-être fait un petit peu mal également mais j’ai trouvé les joueurs très bons et il a juste fallu que la réussite revienne dans notre camp pour gagner face à Fleury.

On espère maintenant que la saison est bien lancée et qu’on va pouvoir convertir nos matches nuls en victoires afin de sortir de cette zone compliquée en bas de tableau.

Aria anime La Chapelle-Réanville depuis 30 ans

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Samedi soir, les adhérents de l'association se sont retrouvés au Manoir de La Chapelle

Samedi soir, les adhérents de l’association se sont retrouvés au Manoir de La Chapelle

Trente ans d’existence pour une association ce n’est pas rien et c’est bien pour cela que les membres de l’association se sont retrouvés autour d’un dîner dansant. Hervé Bourdet, le président de l’association, raconte :

« C’est en 1989, à la suite des élections municipales que l’association ARIA (Association pour la réflexion, l’information et l’animation) fut créée par les 15 membres de la liste qui s’étaient opposée à celle du maire sortant. Ayant perdu ces élections, ces 15 personnes ont estimé pouvoir jouer un rôle dans la vie municipale. L’idée était de monter une association pour réfléchir à comment gérer une commune comme la nôtre, mais aussi informer les Réanvillois sur cette réflexion, poser des questions et proposer des solutions. La dernière idée était d’animer le village par toutes sortes d’animations afin que les habitants de tous les quartiers de la commune puissent se rencontrer, se connaître et échanger ».

Les différents buts prônés par Aria perdurent toujours et d’autres objectifs comme la défense de l’environnement, la défense des locataires de la Genevray se sont ajoutés au fil du temps.

Serge Roland a été le premier président. Claude Hue lui a succédé. Hervé Bourdet a été élu pour la première fois en 1992.

« La longévité de l’association est à mettre à l’honneur de tous les membres du bureau ainsi que de tous les bénévoles qui, par leur dévouement ont permis qu’Aria soit encore présente aujourd’hui alors que le maire de l’époque prédisait notre mort ! » rappelle Hervé Bourdet.

70 000 euros au Téléthon

Qu’Aria n’ait jamais coûté le moindre centime au contribuable est une fierté pour le président. Aria en est au 304 ème numéro de son bulletin d’information, c’est aussi l’organisation d’une des plus grandes foires à tout du département, la participation au Téléthon ou en 12 ans l’association a remis 70 000 € à l’AFM (association française contre les myopathies).

C’est aussi la mise en place d’opérations coopératives comme l’achat groupé de fuel et enfin c’est la défense de l’environnement par la participation aux enquêtes publiques et la participation aux commissions de suivi du site du Setom.

C’est dans la bonne humeur que la soirée s’est déroulée pour les membres de l’association Aria. Le dernier challenge qu’Aria doit relever est celui de faciliter les rencontres entre les habitants des trois villages de la nouvelle commune La Chapelle-Longueville.

Quatre flûtistes pour un concert au château de la Rapée à Bazincourt-sur-Epte (Eure)

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Le Quaturo Amare s'installe, flûtes aux lèvres, le temps d'un concert ce dimanche.

Le Quaturo Amare s’installe, flûtes aux lèvres, le temps d’un concert ce dimanche.

À concert exceptionnel, site exceptionnel… Le château de la Rapée de Bazincourt-sur-Epte accueillera le Quatuor Amare, qui accordera ses flûtes pour interpréter un répertoire singulier s’étendant de la musique baroque au jazz en passant par un large détour par l’œuvre classique.

Représentant la famille des flûtes traversières, du piccolo à la flûte basse, leur formation leur permet de se révéler à la fois pédagogique et riche de diversité.

Prix de musique de chambre

Le Quatuor Amare est constitué de quatre flûtistes – Maria-Pia Bonanni, Sylvie Bernland, Nicolas Mandel et Olivier Mathieu – qui se sont rencontrés lors de leurs études à Cergy-Pontoise (Val-d’Oise).

Ils ont depuis chacun obtenu brillamment un prix de musique de chambre et se proposent de mêler leurs instruments le temps d’un concert exceptionnel. Laissez-vous embarquer par leurs « Flûtes fantaisies » !

Concert « Flûtes fantaisies » par le Quatuor Amare dimanche 17 novembre à 17h au château de la Rapée de Bazincourt-sur-Epte. Tarifs : 16€, sauf réduits 11€.

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